Nous avons eu le plaisir d’accueillir hier au Figuier Blanc, Bouchera Azzouz, réalisatrice et présidente de l’association « ateliers du féminisme populaire », pour un ciné-débat autour de son film « On nous appelait beurettes ».
Un débat très riche, notamment grâce à la mobilisation des associations et maisons de quartier qui ont permis de donner la parole à celles et ceux dont on parle souvent mais à qui l’on ne donne que trop rarement la parole.
Des témoignages intimes, engagés, parfois vifs, sur des sujets sensibles mais que l’on se doit collectivement d’adresser:
👉immigration / identité / double-culture
👉égalité entre les femmes et les hommes/ mariages forcés / violences
👉religion / foulard
👉soif de liberté / émancipation par le travail
👉racisme / sentiment de relégation / discriminations
👉quartiers populaires / classe ouvrière / lutte pour les droits
Avec une conclusion majeure pour la cohésion nationale : l’espoir dans notre projet commun : la République 🇫🇷.